texte écrit par paul Imbert (action humanitaire)

quand le tunnel est noir,sa sortie incertaine

que les mois puis les ans succèdent aux semaines

sans que l'on voie enfin le jour tant désiré

que l'on est las d'avoir tant prié,tant crié

faut il par l'amertume aggraver sa souffrance

en délaissant le baume de l'espèrance?

Jamais!

Si long qu'il soit,tout tunnel a un bout

s'y asseoir au milieu est le pire de tout

lorsque l'espèrance et la foi ensemble nous éclairent

nous marchons pas à pas vers le bout : la lumière

 

 

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